Trois ans pour tenter de trouver une petite vigne de Cabernet Franc sur un terroir d’exception à Chinon. Plus personne ne me prenait au sérieux ! Et puis je suis tombée sur une parcelle qui regorgeait d’absolument tout ce que je cherchais… en mieux. Un hectare et demi divisé en 4 parcelles, séparées par des haies, des arbres fruitiers, des terrasses. Vue plongeante sur la Vienne, un terroir et un micro-climat fabuleux… déniché au XVIIème siècle par les moines bien sûr !
Pourquoi Chinon ? Ma première dégustation dans les années 1980 des vins de Charles Joguet : je n’avais jamais gouté un vin rouge qui alliait une telle finesse avec une telle sensualité et gourmandise. L’équilibre était juste … génial !
Passionnée de vin, j’ai très vite quitté l’Angleterre pour être plus proche des vignes. En tant que caviste, journaliste, auteur, j’ai toujours défendu les vins de la Loire, en particulier les vins biodynamiques.